mardi 28 avril 2009

vendredi 24 avril 2009

In vino veritas

- Tiens tonton s'est encore pris une cuite. T'as pas honte tonton ? D'abord avec des nazis et après pour fêter les 43 balais d'un affreux gauchisse. Elle avait l'air belle celle-là, t'es sûr que ton cerveau va s'en remettre ?

- Est-il besoin de vous affirmer que je n'ai rien à fiche de vos objections et que vous pouvez les utiliser comme suppositoires ?

- Ah, c'est bon, il fonctionne encore.

mercredi 22 avril 2009

La référence des gauchistes !

Ca y est ! Ils reconnaissent enfin mes vrais talents !

mardi 21 avril 2009

Les gonzesses n'ont qu'à bien se tenir

Voir le blog du collectif des hommes engagés.

lundi 20 avril 2009

Cocu, le Zac !

Le gros frisé avec sa cravate à chier va faire la gueule. Zac Efron aurait été mis cocu par sa fiancée Vanessa Hudgens, « amoureuse d’Angelina Jolie ».

Toi même

Dans un des commentaires de ce billet, il est indiqué : "@ konnar Je n'ai jamais dit que je vous prenais pour un imbécile."

Zapatéro de conduite

Ces clowns de gauchistes sautent encore à pieds joints dans les pas de la Dinde du Poitou pour la défendre aveuglément sans se poser la seule question d’utilité générale : M. Zapatéro est-il un imbécile ou non ? S’il l’est, je ne vois pas l’intérêt de contredire M. Sarkozy. S’il ne l’est pas, il jugera lui-même de la propre intelligence d’icelui. Pourtant, mes amis gauchistes sont des experts : ils devraient reconnaître les imbéciles au premier coup d’œil.

jeudi 16 avril 2009

Décidément, les limitées militantes féministes ont un don pour mettre en joie à l’heure où il devient indispensable de songer à l’apéritif avec l’implacable Irremplaçable. Cette dépêche AFP est à l’origine de mon hilarité. « Des militantes du groupe d'action féministe, "La Barbe", se sont postées jeudi matin à Paris à l'entrée de l'Assemblée générale du numéro 1 mondial des cosmétiques L'Oréal, pour protester contre "la domination masculine" au sein des instances dirigeantes du groupe. »
« L'Oréal, c'est un peu le symbole de la place réservée aux femmes dans la société, comme si la beauté était leur premier attribut » a déclaré une militante ! Elle a oublié une particularité de ce groupe, par ailleurs essentiellement capitalistique (je crois me rappeler que le rôle d’une entreprise est de gagner de l’argent), est la propriété d’une femme, la plus riche de France, d’ailleurs !
« Au lieu de dénoncer, on met une barbe, attribut masculin par excellence, on les remercie pour leur politique et on les encourage à ne pas céder aux pressions de la féminisation » a ajouté une autre militante, sûrement sympathique, ce n’est pas mon genre de m’attaquer aux anonymes. Elle a raison. A part mon Irremplaçable à moi, la spécialité des femmes est naturellement de barber les hommes qui souhaitent rester au bistro.
Le plus drôle, c’est qu’elle ignore mon goût prononcé pour les fortes capillarités, comme je le disais en commentaire chez Suzanne.

mercredi 15 avril 2009

J'achète un appareil photo

Je dois reconnaître une certaine satisfaction qui nécessiterait l’absorption de quelques pintes fraiches. Vous ai-je dit que j’avais enfin reçu l’héritage annoncé de l’oncle Gérard ? Je dis « enfin » en constatant les délais des différentes procédures, il est évidemment que je n’attendais pas cet héritage, j’avais trop d’admiration pour l’oncle Gérard, sauf quand il chantait « Le temps des cerises » à la fin des repas. Ce vieux réactionnaire qui nous a initiés aux joies de la réaction pensait qu’il s’agissait d’une chanson d’Yves Montant.
J’avais promis à l’Irremplaçable de lui offrir un nouvel appareil photo afin qu’elle puisse apporter encore plus de plaisir aux visiteurs de son blog.
Nicolas m’avait parlé d’un excellent photographe au Kremlin-Bicêtre et j’ai profité de l’occasion pour y « trainer » Catherine ! Elle était aux anges. Pensez-donc ! Ce n’est pas tous les jours que je « fais » les magasins avec elle. « Faire les magasins ». Cette expression est grotesque.
Elle a été très surprise de constater la beauté de ce grand commerçant noir, en légère surcharge pondérale, vu de dos surtout.
Il a été parfait. Outre sa distinction naturelle, il a pu répondre parfaitement aux besoins de l’Irremplaçable en lui vendant pour 20 euros un logiciel de retouche de photographie. Sa démonstration m’a convaincu : pour un appareil photo numérique de forte capacité (7 Go, comme celui de Catherine), seule la vitesse d’obturation peut avoir intérêt dans les scènes vaguement nocturnes, tous les autres réglages peuvent être faits par la suite.
Ce type d’appareils photos numériques à une telle capacité qu’il permet d’opérer des zooms a posteriori tout en conservant une qualité d’image dépassant largement la capacité des écrans de nos écrans… et même de nos yeux, y compris quand elles sont imprimées en « A3 ».
Ensuite, un petit logiciel suffit pour simuler un réglage différent, bien installé devant l’ordinateur à qui sont principalement destinées ces photographies, à corriger les cadrages, …
Heureusement, l’Irremplaçable n’a pas reconnu le vendeur qui n’était autre que Tonnegrande qui s’était rasé pour passer incognito.  

mardi 14 avril 2009

Taha pas cent balle ?

Tiens ! J'ai commenté ici. C'est bien la preuve non ?

BM N°7645bis : Occis dans le Thalys - Deuxième Chapitre

Le commandant Corentin leva lentement la tête des divers dossiers qui constellaient son bureau. Il venait d'intimer à  Géraldine et au sous-brigadier Bravo d'entrer. Mais il tenait néanmoins à leur faire comprendre qu'il était un homme très occupé et que leur présence se devait d'être brève et leurs informations utiles.

- La victime ?
- D'après ses empreintes digitales, le reste de son corps était illisible : Renaud Vassion. 34 ans. Pas de femme. Pas d'enfant. Ses parents vivent dans le Gers, ils ont été contactés, ils arrivent, mais ils ne connaissent aucun ennemi à leur fils. Sa carte de visite indiquait qu'il était communiquant pour une société publicitaire. D'après ce qu'on a retrouvé dans son Iphone et les informations données par son N+1, il s'occupait du rédactionnel les campagnes d'awareness raising pour de grandes compagnies.

- Je n'ai rien compris, soupira Boris Corentin. Le vocabulaire moderne le laissait parfois pantois.

Géraldine osa un mince sourire de connivence avec le brigadier Bravo qui en retour haussa les épaules en signe d'impuissance.
Il n'avait rien compris non plus.

- Il rédigeait des slogans pour des réclames. Principalement des dépliants et des affichettes pour des campagnes destinées à augmenter la visibilité de groupes sociaux à problème, reformula -t-elle. Et pour illustrer son propos elle tendit à son supérieur quelques imprimés.
Celui-ci  parcouru une affichette, les sourcils froncés. Arrivé rapidement au bout de sa lecture il soupira profondément et rendit le reste à Géraldine sans même y jeter un coup d'œil. Il posa celle qu'il venait de lire sur un coin de son bureau, on pouvait y lire :

Parce que c'et important d'être en phase de compréhension avec ses référents supérieurs du monde quotidien de l'emploi en situation d'entreprise.
Alors il faut compréhender leur paramètres d'appréhension de votre lieu de travail.
La séquestration n'est pas la solution ! 
C'est pourquoi le comité de soutien et d'aide aux relations entre réfrents et référés vous convie le 12 Mai à 17h00 au point exercice physique, pour un goûter apprenant. Un espace "vivre dans l'open space" sera à votre disposition avec les intervenant-formateurs délégué aux relations interprofessionnelles qui vous aiderons à définir votre capital collaboration. 
Ainsi qu' une séance d'aide à la communiacation par le jeu (atelier ludique à visée éducative avec l'utilisation d'un référant rebondissant)
Nous vous attendont nombreux. 

- C'est passionnant. Merveilleuse syntaxe. Quasi Oulipien et  presque poétique. Je vais la faire encadrer. Rien d'autre ?
Géraldine se racla la gorge, visiblement sujette à une légère nausée rien qu'à l'idée de ce qu'elle allait devoir dire et se lança d'un ton aussi neutre que possible :
- Cause de la mort, 72 coups de masse d'armes, tous infligés de la tête aux cuisses. Vraisemblablement, la victime a été attaquée alors qu'elle tentait de récupérer son Iphone tombé dans la cuvette pendant qu'il faisait ses besoins. L'attaquant l'a retourné sans ménagement, lui disloquant l'épaule et le coude puisque son bras était coincé dans la cuvette et il s'est mis à l'ouvrage. Vous avez vu le résultat. Aucun témoin, le wagon était désert. Dans un tel lieu, les empreintes digitales et autres traces humaines laissées sur place n'ont aucun intérêt, il y en a trop. En conclusion, aucun indice tangible nous permettant d'en savoir plus sur l'identité du tueur ou son mobile.

- Ah si quand même ! s'exclama soudain le sous brigadier Bravo semblant sortir de sa torpeur (lorsqu'il n'avait rien à dire il se balançait régulièrement d'un pieds sur l'autre en mâchouillant un vieux bout de chewing-gum, toutes dents dehors et l'air niais, c'était agaçant au possible).

- C'est pour ça que je suis venu, le légiste y m'a dit d'vous dire qu'il avait trouvé ça dans la bouche du macchabée .
Et joignant le geste à la parole, Bravo tendit un morceau de parchemin au Commandant.


Corentin l'observa attentivement, faisant visiblement un effort de mémoire. Devant le silence, qu'il interprétait comme dubitatif, de son supérieur, Bravo se sentit obligé de fournir un début d'explication.

- Alors voilà, avec les collègues on pense que ça veut dire que si on est constipé alors on se fait battre, un peu comme un châtiment venu d'là-haut pour ne n'avoir pas rendu à la terre ce qu'elle vous a donné quoi, alors on est en train de vérifier les antécédents médicaux de la victime, pour voir si elle a une historique de problème de tuyauterie. Voilà...

Boris Corentin retint à grand peine un sourire.

-Merci. L'analyse est audacieuse. Mais ne vous préoccupez pas de cela, je commence à me faire une petite idée du profil de notre assassin, informa Corentin, mais je ne serais sûr de rien tant que je n'aurais pas rencontré quelqu'un. Si vous me cherchez ce midi, je serais à l'AstroNef.

Sans plus de cérémonie, il s'enfonça de nouveau dans les papiers devant lui, mais alors que Géraldine et Bravo allaient battre en retraire dans un respectueux silence, il releva la tête et interpella :

- Géraldine ?
- Commandant ?
- Cet Aphone...
- Iphone...
- Peu importe, il navigue sur la toile n'est-ce pas ?
- Façon de parler.
- Vous pouvez en sortir des archives ? Des traces, que sais-je ?
- Vous aurez l'historique sur votre bureau avant votre départ pour l'AstroNef, clôt Géraldine avant de faire de même avec la porte du bureau.


(à suivre)

lundi 13 avril 2009

Très bien ce dimanche de Pâques en famille

dimanche 12 avril 2009

BM N° 7645bis : Occis Dans le Thalys - Prolégomènes

Lorsque Boris Corentin parvint enfin à extirper son épaisse carcasse d'entre les badauds agglutinés sur le quai numéro 3 de la petite gare de Kremlin-Herbert, et à monter dans le Thalys arrêté là, vision saugrenue et disproportionnée dans cette petite gare de banlieue, il fut surpris de découvrir sa collègue, Géraldine Hébert, assise dans un compartiment de première classe, engrossée dans une activité jusque là inédite chez elle.

La demoiselle, habituellement fort gironde, semblait s'être métamorphosée en une harpie au teint glauque, et, la tête dans un sac Auchamps, elle vomissait allègrement tripes, boyaux et ce qui semblait être les restes à demi digérés d'un steak tartare.

Corentin attendit patiemment qu'elle veuille bien cesser ses borborygmes. Ça tombait plutôt bien il avait sacrément besoin de reprendre son souffle, même si l'odeur amère et peu amène qui se dégageait des excrétions buccales de sa subordonnée n'incitait pas à inspirer trop profondément.

- Désolée, haleta finalement Géraldine, tout en nouant précautionneusement ensemble les poignées du sac contenant le fruit de ses entrailles. Allez voir aux toilettes du wagon 15 et vous comprendrez, c'est indescriptible.

Corentin, stoïque, s'abstint de lui faire remarquer qu'un demi câpre pendouillait tristement, collé à une mèche de ses cheveux et il se dirigea vers les gogues.

La porte en était entrouverte et un planton un peu verdâtre lui aussi, stationnait à quelques pas de là, le regard décidément tourné vers partout, mais surtout ailleurs que sur le panneau de la porte des toilettes. Pourtant de l'extérieur, rien ne semblait devoir susciter une telle répulsion.

L'odeur peut être.

Boris Corentin soupira et ouvrit d'un geste blasé.  Les latrines n'étaient pas ses scènes de crimes de prédilection.
- Ah oui, tout de même, se serait-il bien exclamé si l'odeur de tripes ne l'avait pas pris au nez, à la bouche et aux oreilles, et si le spectable qui se collait à ses rétines pourtant blasées n'était pas si haut en couleur.

Le pauvre...homme, oui, un homme, dans cet état, on ne pouvait cependant être sûr de rien qui lui servait de macchabée pour la journée, était à genoux sur le sol, le bras droit tordu par dessus son épaule et coincé dans la cuvette. C'est dans cette position saugrenue que quelqu'un s'était vraisemblablement amusé à le massacrer à coup de...

Boris Corentin se pencha légèrement sur le côté droit et regarda l'instrument maculé de sang coagulé mal dissimulé derrière le siège des toilettes.

...masse d'armes.

- Tiens, c'est original, très Croisades... murmura-t-il, avant de prendre sur lui pour dégager la main du corps, toujours coincée dans la cuvette. Il y eu une certaine résistance et Corentin compris pourquoi quand il trouva les doigts bleuis, crispés autour d'un étrange petit appareil.

Il ne prolongea pas sa visite au petit coin plus longtemps, il mit l'objet humide et puant dans un sachet et retourna vers Géraldine.

- Savez-vous ce que c'est ?
- Un iPhone.
- Un quoi ?
- Un iPhone. Un téléphone, mais sans fil. Et en mieux.
- Oh, vous savez, moi et les nouvelles technologies...

( à suivre )

samedi 11 avril 2009

Didier Goo visite le sud

Bon. Avec l’irremplaçable, on a peu forcé l’apéro. On a bu pareil. Elle a bu quatre verres de Chablis. J’ai fini le reste des quatre bouteilles. Ca évite le gaspillage. Les gauchistes écolos (ou alcoolo) peuvent toujours faire des remontrances ! Le développement durable, c’est bien moi. D’ailleurs, il n’y aurait pas durable de picrate ?
 
L’irremplaçable est irremplaçable, mais quand elle prévoit l’apéro, elle a une tendance naturelle à limiter les commandes. De nos jours, que peut-on faire avec quatre bouteilles de pinard ? Pourtant, nous avions bien commencé la soirée. Je lui avais expliqué la tendance néo-occidentaliste chez Goethe.

Pour me montrer qu’elle avait bien compris, elle m’a demandé s’il ne serait pas temps de passer à table pour goûter l’inouï pigeon aux myrtilles dont elle a le secret. La recette est pourtant simple, m’a-t-elle confié. Je crois me rappeler qu’il faut deux étapes, la première étant de cuire les pigeons, la deuxième étant de faire rissoler les myrtilles dans une noix de beurre au sel de Guérande.

C’est important le sel de Guérande. Il faut bien reconnaître qu’une majorité de la population Française ne sait pas de quoi il s’agit et n’hésite pas à cuire les myrtilles dans du « Bridélice » qui est au beurre au seul de Guérande ce que sont les Brigade Mondaine à l’œuvre complète de Georges Sand les jours pairs.

Quand je dis la population Française, je me comprends. Nous avons d’un côté tous les nord-africains (je suis bien obligé de me rendre au politiquement correct) du Kremlin-Bicêtre, les gros noirs (le politiquement correct a des limites) de Villejuif, les Portugais d’Ivry-sur-seine d’un côté et de l’autre tous ces fascisants de la banlieue sud-ouest de Paris.

Vous devriez venir à Levallois-Perret. La population est normale. Le seul Chinois est le buraliste. Il fait bien son métier et vend des cigarettes avec une abnégation qui n’a d’égale que le tortillement du pointu fessier de son épouse qui incite à y entrevoir une certaine ascendance Berrichonne.

Levallois-Perret et ses gens normaux. Le bonheur. Pensez donc ! Notre bon maire bien à l’ouest des Balkans a tout simplement décidé qu’il était impossible d’habiter à Levallois-Perret sans toucher un minimum de 4000 euros par mois sauf quand on est concierge. On pourra toujours l’accuser de tous les maux de la planète, il n’empêche qu’il a éradiqué la pauvreté à Levallois-Perret. Nous pouvons enfin vivre entre gens normaux, grassouillets bourgeois, n’ayant qu’un seul défaut, une petite tendance à l’alcoolisme mondain.

Néanmoins, pour parfaire mon érudition, je n’hésite pas à retrouver le Kremlin-Bicêtre afin de me rafraîchir avec le gros frisé en étudiant ce Monsieur élégant d’une couleur étrange qui me répond « Oui missié » quand je lui demande s’il souhaite reprendre une sympathique consommation. Parfois, parmi nous, une personne d’un âge incontrôlable se joint à nous. Le moment où le gros frisé dit « Tiens ! V’la l’vieux » est émouvant. Il nous montre comment ces classes populaires savent exprimer un respect mérité alors que, moi-même, parfois un peu las, j’aurais tendance à dire : « Merde ! Le vieux Jacques débarque ».
Ah ! L’irremplaçable m’appelle ! Son pigeon aux Myrtilles était parfait. Un seul reproche, néanmoins, mais très léger. Elle n’avait plus de Myrilles et les a remplacées par des écrevisses. Je ne suis pas opposé au changement mais je me demande si sa décision de dernière minute était d’une opportunité à toute épreuve.

Ah ! Elle m’appelle encore. Je crois qu’elle veut que nous discutions de la rénovation de la partie occidentale de notre pavillon de banlieue, acheté en 1995 avec la prime de licenciement que j’ai obtenue en quittant Michelin.

Je vous laisse.

La crampe de l'écrivain

Je finis d'écrire mon Dialogue de mes couilles et je reviens...

Virginité perdue - dix de troussées

Je me promenais avec l’Irremplaçable le long de ses magnifiques canaux d’Eure-et-Loir qui me rappellent tant l’Oubangui de ma jeunesse pour digérer le délicat plat de macaroni aux quatre fromage qu’elle avait eu la gentillesse de me préparer, ce midi, pour digérer les 57 bières avalées hier en riante compagnie de Nicolas, vous savez, le gros qui n’arrête pas de mettre des liens sur les blogs.
Une splendide jouvencelle hâlée traversa le chemin de halage et plongea le nombril en avant dans l’eau du lit. Mon courage m’envoyit un SMS et je n’écoutu que lui. Je sauta à mon tour, laissant l’irremplaçable tenir la laisse de kéké, notre nouvel écureuil nain, qui remplaçait avantageusement notre précédent animal de compagnie, Ludovic. Au moins, Kéké ne nous donno t’il pas la honte quand il diffuse des photos sur Internet.
C’est ainsi que je sauvis la jouvencelle qui en perdu sa virginité tout en criant : « Arg. Didier. Tu es mon héro. Partons ensemble sauver des civilisations ». J’ai EVIDEMMENT refusé, étant bien au dessus de ça, sans compter que l’Irremplaçable commençait à se lasser de prendre en photo des canards toqués qui pullulent autour de Garches-les-Conasses. Il ne fallait pas que je m’égare, j’avais commis l’imprudence de lui confier les clés de la voiture alors que le Chablis était au frais, dans le coffre, dans la glacière offerte par Helmut, mon camarade de mirador pendant la dernière, à l’occasion de la mort de René Monory qui mérite un hommage sincère : c’est le seul Président de Région a qui a succédé Jean-Pierre Raffarin et Ségolène Royal qui est mort en tenant sans faire la moindre remarque déplaisante sur ses illustres héritiers.
Sans prévenir, mon iPhone sonnit. C’était Dédé-le-Rital. « Diantre ! Monsieur Didier ! Auriez-vous oublié notre rendez-vous à l’amicale des sauveurs de civilisations de Paris 13 ? ».
J’avais oublié.

Pour m'initier aux technologies 3.O...

...Et au web participatif, j'ai décidé d'acquérir un tamagoshi.
C'est très amusant.
J'ai trouvé comment me servir de tous les boutons assez rapidement. 
Sa conversation, cependant, est assez limitée et il ne boit pas de bières.
Je pense aussi m'inscrire sur un site de rencontre, histoire de créer des liens avec de jeunes occidentaux.

Je me mets à la vidéo

Mon tonton et les nouvelles technologies

Vous allez voir, Didier Goux et les nouvelles technologies, ça glisse comme de la shoo goo sur une basket de grunge.
Didier Goo powaaah

(mais qu'est ce que je fous là moi ? )

Ah ah !

On croyait faire le con impunément !